Inde, mes 3 roadtrips

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  • Publication publiée :7 novembre 2020
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L’INDE !

Un voyage en Inde ne se conçoit pas comme les autres. Il faut se préparer à se prendre une grande claque dans la gueule !

Un séjour ne suffit pas à se faire une réelle idée du pays.
De Mumbai au Rajasthan en passant par le  désert du Thar,  de la citadelle d’Udaipur au mausolée de Mumtaz Mahal ( le Taj Mahal ), l’émerveillement est à tout les coins de rue!

En 1998, ma première aventure indienne ne s’est pas passé comme je l’avais imaginé.

J’avais opté pour cette destination à la dernière minute suite à un cyclone dans zone de mon choix d’origine. J’avais appréhendé ce trip comme le précédent. Grave erreur ! Le Sud-est asiatique est “une région facile”, même si la situation lors de ma première  visite au Cambodge était très tendue.

J’ai donc débarqué comme une rose, à Bombay, en pleine nuit après un vol épique. D’entrée de jeu j’ai été fixé. Je n’avais pas fait cent mètres que déjà j’avais flingué mon jean avec du cambouis. Rien de mortel, mais ça met en condition !

Ce que je n’avais pas prévu, c’était le fait d’être complètement ailleurs, le reset total. Rien ne ressemble à l’Inde. La nourriture, le bruit, la poussière, même la chaleur du soleil est différente. Même si tout s’est bien passé, je n’étais pas réellement satisfait. Il faut du temps pour s’acclimater avant d’apprécier l’endroit.

 

Ma deuxième expérience en Inde, en 2010, fut à l’opposé de la première.

Tout d’abord, à cette époque la, j’étais en vadrouille autour du monde depuis plusieurs mois et j’avais adopter un rythme de vie routard. Je n’avais besoin de rien, j’étais libre de prendre mon temps !

Dégagé des contraintes matérielles, j’avais pu me fondre tranquillement dans ce décor et en apprécier l’envers, la face cachée. Du rêve, en fait.

Quant à la troisième, en 2016, elle fut à nouveau gâchée par le mal des montagnes. C’était à Darjeeling en hiver.  Chaque fois, je fais la même erreur, je monte trop vite et ensuite j’ai la tête qui veut éclater. Sauf que cette fois en plus, il faisait un froid de chien et que je ne l’avais pas prévu. Difficile de prendre du plaisir avec la sensation d’être dans un étau en permanence.

Tout compte fait, l’Inde est addictive. On y revient avec plaisir sans se préoccuper des inconvénients.

Le quatrième est en préparation au fond de mon cerveau et aride se passer complétement  à l’ouest vers Srinagar au Cachemire.

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